Au creux de ce lieu luxuriant qui ne s'offre qu'à qui sait s'oublier
L'étreinte d'un confort enlaçant les dendrites de la solitude
















Cueillis par un homme de l'île, les grains mûrs du raisin accroché aux branches
La bouche encore salée s'initie aux savoirs inconnus














Le début d'après-midi fait glisser ses éclats contre la joue de l'océan
Les têtes flottantes des baigneurs roulent sur elle comme des larmes